vendredi 27 janvier 2012

Le Jazz est là, la Java s'en va

Voici une drôle d'introduction à notre cours sur le Jazz.
François Drapier est venu aujourd'hui nous expliquer que le Jazz n'avait pas de définition !

Après une petite saynète rendant hommage à Pagnol, où le Jazz était comparé à une anguille un peu insaisissable, nous avons écouté quelques morceaux de Jazz. 


François Drapier avait apporté son gramophone (de sa grand-mère) pour nous faire écouter un 78 t de Django et Grappelli....la fine fleur du jazz français d'avant-guerre ! 



Sur les tables, un texte de Charles Delaunay (le cofondateur du Hot-Club de France) nous attendait...la Préface au manifeste De la vie et du jazz écrit en 1938. 




Miles Davis, Charlie Parker étaient aussi de la partie.....
Notre maître de cérémonie sans surprise, lâchait quelques mots qui résonnaient Jazz comme swing ou improvisation.
Des petites instruments, parfois insolites (les ongles de chèvre, la flute nasale, la boîte à Meuhh etc.) encombraient les tables, il était temps de les tripoter et d'expérimenter une petite improvisation sans prétention.....histoire de s'écouter !





Et puis François Drapier se lance dans une belle interprétation du célébrissime morceau de Miles Davis, So What. Je vous propose la version originale afin de respecter la modestie légendaire de François.


Voilà, une petite heure d'histoire des arts qui, je l'espère aura permis de comprendre que le Jazz est la musique de l'improvisation !

JC Diedrich


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